Forum du Parti Pirate

Le Parti Pirate au coeur de l’histoire moderne

Le Parti Pirate est un mouvement politique et social mondial fondé en en 2006 pour protéger les droits de l’homme et ses libertés fondamentales dont le libre accès aux savoirs et à la culture.

Pour que chacun puisse jouir des libertés d’information et d’expression permises par l’essor des réseaux numériques, le Parti Pirate lutte contre les monopoles abusifs et l’opacité politique. Ainsi en 2009, le Parti Pirate suédois remporte une victoire majeure en obtenant 2 députés pirates au parlement européen.

En 2010, le vent de la liberté souffle sur plus de 60 pays et plusieurs centaines de pirates sont élus conseillers municipaux à travers l’Europe. Tandis qu’en Tunisie, le Parti Pirate participe à la révolution et au gouvernement d’union nationale de 2011 au poste de Secrétaire d’Etat à la Jeunesse et aux Sports.

En 2012, la vague pirate continue de déferler et les citoyens allemands ont élus 59 députés dans tous les parlements régionaux. Le Parti Pirate devient la troisième force politique outre-rhin.

Conscient d’offrir une véritable alternative politique, le Parti Pirate présente plus de 100 candidats aux élections législatives en France métropolitaine mais aussi à la Réunion (7ème circonscription).

Malgré la forte mobilisation et l’espoir qu’il suscite, le Parti Pirate garde les pieds sur terre et sait qu’il est défavorisé par le mode de scrutin et le manque de visibilité médiatique.

Le Parti Pirate espère toujours provoquer un véritable sursaut de conscience des électeurs et les inciter à se réapproprier la politique trop long détournée par des cumulards et asservies aux considérations financières.

Le Parti Pirate oeuvre sans répit pour une transition sociale basée sur le libre accès aux savoirs et à la culture ainsi que sur les libertés d’expression et de diffusion de l’information indispensable à une réelle démocratie.

Ainsi en 2009, le Parti Pirate suédois remporte une victoire majeure en obtenant 2 députés pirates au parlement européen.

C'était certes une victoire majeure du point de vue des PP, d'autant plus qu'elle a rendu possible d'autres progrès qui ont suivi. Mais du point de vue d'un électeur sans engagement politique particulier, 2 députés, ça reste 2 députés parmi des centaines. Un des points rafraichissants du PP est l'absence de la langue de bois et une certaine modestie. Je serais plutôt partisan de les cultiver.

Tandis qu’en Tunisie, le Parti Pirate participe à la révolution et au gouvernement d’union nationale de 2011 au poste de Secrétaire d’Etat à la Jeunesse et aux Sports.

Si mes souvenirs sont bons, Slim ne s'est jamais réclamé du PP au gouvernement et ses camarades se sont désolidarisés de lui suite à sa participation à un gouvernement que beaucoup considéraient comme n'étant qu'un cache-sexe. Point de vue que Slim a plus ou moins partagé d'ailleurs puisqu'il a démissionné. Il avait même été question d'exclusion, à laquelle il avait été répondu qu'il n'y avait pas de parti formellement constitué pour qu'il puisse s'agir d'exclusion. En gros, c'était un joli bordel, je ne m'en servirais pas comme d'un argument.

Le Parti Pirate devient la troisième force politique outre-rhin.

Quatrième plutôt, derrière les Verts. Ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose, il faut quand même un peu de temps pour gérer la croissance. J'aime beaucoup la devise Gradatim Ferociter de Blue Origin. Le boulot à faire est très difficile, on y arrivera par petites touches successives, sur le long terme. Ce qui n'empêche pas d'être déterminé, au contraire : une déconvenue ne fera pas baisser les bras.